lundi 24 novembre 2014

Ne jamais dire Gamay...

Jeudi soir, nous avons fêté avec le club de Saint-Yrieix l'arrivée du Beaujolais nouveau, accompagné en musique par le Bob Quartet. Au programme, cinq vins issus du cépage Gamay.
 
 
Nous avons évidemment démarré avec le Beaujolais nouveau 2014 de P-U-R qui a séduit tout le monde par son fruité, sa souplesse, son côté glou-glou. Avec la cochonnaille, c'est que du bonheur ! Du coup, notre allocation de l'année est quasi-épuisée. Il ne nous en reste que 8 pour tenir jusqu'en novembre 2015 !

 
Nous sommes restés en 2014 avec le C Fini de la même maison. Je vous ai dit ICI tout le  bien que j'en pensais. Ce soir-là, il se goûtait un peu moins bien (trop froid, pas assez aéré) mais je l'aime beaucoup quand même !
 
Nous avons poursuivi avec le Moulin à Vent 2010 du domaine des Moriers. Je l'avais choisi, car François de Nicolaÿ le vinifie à la Bourguignonne. Du coup, pas de goût de "carbo". On dirait un joli Pinot noir de la Côte d'Or. Il a bôôcoup plus !
 
 
 
Et nous avons terminé la série des vins rouges avec un Poycelan 2013 des Verdier-Logel, histoire de montrer que l'on savait faire du bon Gamay en dehors du Beaujolais. Je vous en avais parlé en (beaucoup de) bien dans cet article.

 
Du Gamay avec le dessert ? Oui, c'est possible avec le Ribambulles ! Rien que sa belle couleur rosée séduit au premier regard, et puis après son fruité, sa fraîcheur, ses fines bulles... Le pétillant idéal pour une fin de repas en douceur.
 
 
Un grand bravo aux musiciens qui nous rappelaient l'ambiance de Saint-Germain des Prés dans les années 60 et au chef qui nous a régalé avec sa potée limousine (j'en bave encore rien qu'à y  penser...)

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