A peine vient-on d'envoyer la Newsletter que déjà elle n'est plus à jour... Hier matin, des palettes sont arrivées à notre entrepôt, avec le plein de nouveautés :
Les Sancerre(s) de Gérard Boulay dans le millésime 2011 : la Côte, le Clos de Beaujeu et Comtesse. La spécificité du millésime fait qu'ils ne devraient pas demander des années pour être au top. Les vins bénéficient de belles maturités, avec plus de fraîcheur et de tension qu'en 2009. La Comtesse est particulièrement réussie.
Les Alsace(s) de Laurent Barth, également sur le millésime 2011. À peine reçus, nous avons déjà dégusté deux cuvées : le Riesling 2011 et Racines métisses (assemblage de Sylvaner, Pinot Blanc et Riesling). On va dire que c'est un peu comme le Sancerre. C'est bien mûr – on évite donc le côté variétal – avec de la fraîcheur, sans être trop marqué par l'acidité. Bref, ça se boit tout seul, avec un niveau qui baisse à vitesse grand V...
On vient aussi de recevoir les versions 2010 de Fleuve Amour et Velvet de Zélige-Caravant. Un millésime à ne pas rater, car il associe la belle maturité des 2009 à une grande fraîcheur, ce qui leur apporte une grande buvabilité.
Et puis, nous avions signalés leur dans notre dernière Newsletter : Kezako 2011 de Sébastien David, Bu N'Daw de la Grange de 4 sous, et les 2011 "spécimen" du domaine Pin des Marguerites : le Carignan et le Mourvèdre. Le millésime offre ici plus de finesse qu'en 2010, avec toujours cette fraîcheur et cette netteté propre aux vins sur schistes.
Les observateurs auront remarqué que j'ai beaucoup utilisé le mot fraîcheur. Je sais bien, mais autant il y a des termes facilement remplaçables, je ne connais pas beaucoup de synonymes à celui-ci. Il se trouve que 2010 et 2011 ont permis de produire des vins frais. Je le dis, voilà tout ;-)
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