Cela aurait pu faire l'objet d'une newsletter, mais le temps nous est compté en ce moment. Voici donc en quelques lignes les dernières nouveautés du site.
Nouveaux vignerons
Hubert et Heidi Hausherr (Alsace)
Nous les avons rencontrés à plusieurs salons. Nous avons goûté et regoûté leurs vins. À chaque fois, c'est un coup de coeur. Un peu dans l'esprit d'un Jean-Michel Deiss, ce couple privilégie la complantation, et donc les assemblages de plusieurs cépages dans les cuvées. Il en résulte des vins qui font bien penser à l'Alsace ... tout en s'en écartant sensiblement. Le plus bluffant, peut-être, est qu'ils sont vinifiés et élevés sans sulfites. Cela ne se ressent pas du tout : ces vins sont accessibles à tous, "non initiés" inclus.
Léonis (Raphaël et Christelle Champier, Beaujolais)
Là, c'est à la Dive que le choc de la découverte a eu lieu : tout était au minimum très bon. Et la plupart du temps excellent. Nous ne pouvions pas ne pas les référencer. Comme les précédents, le soufre est absent des vinifications (éventuellement 10 mg/l à la mise) et cela ne se ressent pas du tout : pureté et gourmandise sont aux rendez-vous.
Les nouvelles cuvées
La Familia 2015 de Frédéric Sigonneau, c'est le Cab'Franc de Loire comme aime : croquant, gourmand, idéal sur un casse-croûte entre copains ou le poulet du dimanche familial.
Chez Valentin Morel, trois nouvelles cuvées qui n'étaient pas en bouteille lors de la première commande : deux savagnins (l'un oxydatif, l'autre ouillé) et un Chardonnay de macération.
Chez Pignier, deux nouvelles cuvées : À table avec Léandre, un vin extra-ordinaire à tous points de vue (11 vieux cépages différents) et le Gamay blanc, un Chardonnay ouillé élevé en cuve béton ovoïde.
Chez Costes Cirgues, deux nouvelles cuvées sans soufre : le rosé et le Parrain (100 % Mourvèdre). Il y a aussi le Syrault vinifié par Robin, l'oenologue de la famille.
Au Château de Plaisance, nous avons pris le Fronton "générique" qui s'avère frais et gourmand pour un prix raisonnable (8 €).
Chez Vini Viti Vinci, il y a un mix de nouvelles cuvées et de nouveaux millésimes. A voir ICI.
Les come back
Comme vous pouvez le voir, Terres salées blanc est de retour. Nous savons qu'une bonne partie des bouteilles sera bue dans l'années qui vient. Mais cela ne nous empêchera pas de vous conseiller de les laisser au moins cinq ans en cave avant d'en ouvrir : cela change tout !
Retour d'un autre "monstre sacré" : LBV de Carrel. Un Sauvignon languedocien mûr et concentré, vinifié en barriques. On adore ou on déteste. Mais par expérience, on peut dire que les adorateurs sont plus nombreux que l'autre groupe.
Son Coeur d'Artichaut rosé 2016 qui a connu le succès l'été précédent revient également
Nouvel arrivage du Domaine des Cavarodes avec Chardonnay Lumachelles 2015 et Savagnin Ostrea Virgula 2014. Les Poulsard sont malheureusement à nouveau déjà quasi épuisés ainsi que le Chardonnay de Messagelin.
Son Coeur d'Artichaut rosé 2016 qui a connu le succès l'été précédent revient également
Nouvel arrivage du Domaine des Cavarodes avec Chardonnay Lumachelles 2015 et Savagnin Ostrea Virgula 2014. Les Poulsard sont malheureusement à nouveau déjà quasi épuisés ainsi que le Chardonnay de Messagelin.
Les premières cuvées du millésime 2016 de Jean-Claude Lapalu sont désormais en stock y compris sont blanc, de facture plus classique sur ce millésime.
En Bourgogne, les magnifiques 2015 avec ses étiquettes au style inimitable de Nicolas Vauthier Vini Viti Vinci sont arrivés depuis une quinzaine de jours.
En Corse, Equilibre 2015 et Sérénité 2016 de Pero Longo dont la qualité régulière n'est plus un secret pour personne sont en stock. Les Faustine blanc et rouge d'Abbatucci ne devraient pas tarder.
Une partie des francs de pied du domaine Marionnet, avec qui nous travaillons depuis 15 ans (eh oui ils faisaient partie de la gamme des 12 vins du début en 2003) revient dans notre entrepôt. Welcome au Sauvignon Vinifera 2016, Chenin Vinifera, Gamay de Bouze 2015 et Renaissance 2016. Ce dernier est en fait la cuvée Gamay Vinifera mais vinifiée sans sulfites ajoutés. Un vision du Gamay qui nos ancêtres buvaient peut-être il y a deux siècles.
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