On pouvait s'en douter : Jeff Carrel n'allait pas s'arrêter au Bistrologie rouge. Voilà qu'arrivent dans la foulée un Bistrologie blanc et un Bistrologie rosé.
Nous n'avons pas encore dégusté ce dernier, mais s'il est du niveau de l'antépénultième (du blanc, quoi), c'est des plus prometteurs. Comme les deux sont en "Vin de France" et que Jeff n'a pas indiqué les cépages sur l'étiquette, nous ne pouvons les indiquer sur le site de vente. Par contre, j'ai le droit de les donner sur ce blog. Le blanc est donc un assemblage de Sauvignon, de Chenin et de Colombard. Plus "Côtes de Gascogne" que Languedoc, donc. Et c'est vrai qu'en le buvant, il est difficile de ne pas penser au Sauvignon-Colombard d'un célèbre producteur de cette IGP.
Le rosé dont nous parlerons une prochaine fois est un assemblage de Côt et des deux Cabernets en pressée directe. Mais revenons au blanc :
La robe est paille claire, brillante.
Le nez est frais, tonique, sur le pomelo, la poire, mais aussi l'ananas confit et une touche miellée.
La bouche éclate de fraîcheur, avec une matière ronde, charnue, friande à souhait, déclenchant des sentiments jubilatoires à l'insu de votre plein gré.
La finale est tonique, savoureuse, étirée par une belle amertume, entre zeste d'agrume et bergamote de Nancy.
Le blanc idéal pour l'apéro, mais qui pourra jouer les prolongations avec des tapas, un poisson grillé, un fromage de chèvre demi-sec... Le tout au doux prix de 6,30 €. Ne nous remerciez pas. Ca nous fait vraiment plaisir de rendre service :-)
Ca peut rendre poivrot ce truc lâ. Miam. Bu et approuvé.
RépondreSupprimerA boire sans soif !
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